Aziz Lebar ou le combat perpetuel en faveur du tissu socio- économique
SawtFesElbadil
Député, président du Conseil Regional du Tourisme de Fes, vice- président du Conseil Communal de Fes, promoteur et investisseur touristique, Aziz Lebar est une figure qui reste intimement liée au destin de sa ville natale, Fes.
Ses prises de position font peut- être polémique, mais pas pour ceux qui le connaissent ou entretiennent avec lui des relations professionnelles ou à caractère politique .
Que ce soit dans l’hémicycle, les commissions parlementaires dont celle des finances, les réunions professionnelles ou associatives , le personnage se distingue par sa communication à cœur ouvert, parfois tentées d’humour.
Depuis qu’il est dans les affaires, il a fait du développement du tourisme et de l’artisanat, du tissu socio- économique en general à Fes et dans la Region, un combat de tous les instants.
Les 2 et 3 mars 2020, il invite, à la tête du conseil régional du tourisme de Fes, aux côtés d’autres membres de son bureau, la presse nationale pour un voyage de presse destiné à tirer vers le haut une destination dont les monuments historiques, fondouks, medersas, etc… venaient d’être restaurés grâce à la sollicitude royale. Un pari réussi dont les retombées médiatiques ont eu un impact porteur sur la relance de l’activité et de l’investissement touristiques.
Dans les jours et les semaines de la crise sanitaire due au covid 19, il n’hésite pas à inviter le gouvernement à soutenir un secteur durement affecté, et des professionnels démunis face à une pandémie que personne n’a vu venir.
Une mobilisation qui le pousse par ailleurs à mettre à disposition ses établissements hôteliers pour permettre, le cas échéant, aux contaminées du covid de recevoir des soins d’urgence ( notre article sur le Site d’infos Al Badil du 4/6/20 ).
Des actions sociales, il en compte d’innombrables à son compteur, un plus qui maintient sa côte de popularité au sein d’un électorat qui lui renouvelle sans hésiter sa confiance à l’occasion de chaque élection .
Une preuve de plus qu’il ne laisse pas indifferent.
Par M.BETTACHE